Pourquoi tu vis un yoyo émotionnel (et comment retrouver l’équilibre)

Tu as l’impression de passer d’une émotion à l’autre sans répit ?

Un jour tu es plein(e) d’énergie, et le lendemain tu ne veux plus sortir de ton lit ? Un matin tu as envie de croquer la vie, et le soir tu fonds en larmes ?

Ce yoyo émotionnel n’est pas juste « dans ta tête ». Il a une cause bien plus profonde.

Je suis Mélanie, thérapeute énergétique holistique quantique, et j’accompagne depuis plus de 300 personnes à retrouver l’équilibre émotionnel en libérant les blocages inscrits dans leur corps.

Et dans cet article, je vais t’expliquer pourquoi tu ressens tout aussi fort (parfois trop), ce qui se joue dans ton corps, et surtout comment t’en libérer durablement.

La médecine occidentale a tendance à regrouper tout ça dans des catégories très larges : stress, anxiété, troubles de l’humeur, hypersensibilité... sans toujours chercher l’origine profonde.

Tu n’as qu’à prendre les anxiétés, les angoisses, les sautes d’humeur : on te met dans le même panier. Et on te prescrit les mêmes traitements : anxiolytiques, antidépresseurs, voire un suivi psychologique. Mais les causes sont très différentes.

On va donc voir ensemble ce que dit la médecine chinoise biodynamique, et ce que je ressens dans mes mains en tant que canal, pour vraiment comprendre les origines de ce yoyo émotionnel.

Les 3 provoquent des montagnes russes émotionnelles. Mais ils ne viennent pas du tout du même endroit.

Blocage émotionnel : Une émotion forte, mal digérée, qui bloque un organe et finit par provoquer d’autres émotions parasites. Par exemple : une forte angoisse non exprimée va bloquer la rate et provoquer de l’anxiété chronique. Ou une colère bloquée dans le foie peut engendrer de l’irritabilité, de la tristesse, ou de la fatigue.

Burnout émotionnel : Tous tes vases émotionnels sont pleins. Tu es saturé(e), à bout, et la moindre goutte fait déborder le vase. Tu n’as plus de marges. Le corps dit stop, mais le mental pousse encore.

Hypersensibilité : À l’inverse, certains de tes vases sont vides. Tu ne ressens plus tes propres émotions, alors tu captes celles des autres. Tu absorbes tout ce qui t’entoure, et tu te retrouves noyé(e) dans des émotions qui ne sont même pas les tiennes.

Dans tous les cas, le corps parle. Et le mental, seul, ne suffit pas à régler le problème.

Chaque organe est associé à une émotion en médecine chinoise :

• Le foie : la colère,
• Les poumons : la tristesse,
• La rate et l’estomac : l’angoisse,
• Les reins : l’anxiété, la peur, l’insécurité,
• Le coeur : la joie, mais aussi l’amour de soi, la concentration.

Quand un organe est en déséquilibre, l’émotion correspondante se dérègle aussi. Et vice versa. C’est pour cela que tu peux te sentir en écart permanent entre deux états : c’est ton corps qui ne trouve pas son point d’ancrage.

Ajoute à cela les mémoires émotionnelles, les chocs passés, les traumas non digérés... et tu obtiens un cocktail émotionnel instable, que les méthodes classiques ne savent pas traiter.

Tu peux avoir compris ton schéma, mis des mots dessus, parlé à ton psy... mais si ton corps n’a pas digéré l’émotion, rien ne changera durablement.

On croit souvent que mettre des mots suffit. Que si tu comprends tout, tu sera libéré(e). Mais le corps, lui, n’a pas eu l’espace de digérer, d’évacuer, de se réguler.

Et tant qu’il garde ces mémoires, l’émotion revient. Sous une autre forme. Avec d’autres conséquences.

D'ailleurs, quand tu as une crise d'angoisse, c'est bien le corps qui parle non ? le coeur palpite, les bouffées de chaleur arrive, tu trembles, et tu peux même avoir mal au ventre. Ce n'est pas dans ta tête. C'est le corps qui s'exprime

Le corps sait tout. Le corps a la mémoire de tout. C'est ton cheval, qui est tombé, et qui se souvient des chocs passés. Ou comme la carrosserie de ta voiture qui garde "en mémoire" tous les accidents qu'elle a eu.

Contrairement au mental qui peut (volontairement, ou non) oublier des événements "Pour ton bien"

Alors pour sortir du yoyo émotionnel, il faut commencer par libérer le corps, puis reconnecter le corps et le mental pour qu’ils avancent ensemble, dans la même direction.